La synthèse de cette affaire de scandale à la Barclays
Préambule :
Avant d’entrer dans les détails techniques, nous allons procéder à un bref rappel du déroulement de cette affaire qui est intimement liée avec celui de la “grande histoire”.
À partir de la fin des années 30, alors que l’armée impériale japonaise pille l’ensemble du Sud-Est asiatique ce qui conduit l’empereur Hiro-hito à lancer « l’Opération Lys d’or » dont l’objectif est la récupération, puis la dissimulation, de son gigantesque butin de guerre.
L’histoire de ce dossier se termine, ou plutôt commence pour ce qui nous intéresse en 1945, alors
que les villes du Japon flambaient comme de monstrueuses torches sous les coups des bombardiers
B-29 US, que l'aéronavale et les sous-marins alliés naufrageaient les unes après les autres toutes les unités des flottes de guerre et de commerce japonaises, l'empereur Hiro-Hito faisait entasser des milliers de tonnes de lingots de métaux précieux dans les caves de son palais de Tokyo, imité en cela par les chefs des services secrets, des organisations subversives, des responsables de l'Armée et de
la Marineet les propriétaires des grands complexes industriels.
Ces trésors provenaient de la mise à sac systématique des biens des particuliers européens et indigènes, des coffres des banques, des trésors familiaux des rajas malais et indonésiens, des actifs d'entreprises, des fonds des musées, du pillage des sites archéologiques, des collections privées et publiques des bibliothèques de haut niveau et des biens d'Etat de très nombreux pays du sud-est asiatique.
Il s’agissait en réalité du pillage systématique et parfois dramatique dans de véritables bains de sang liés à des massacres effectués sur des populations entières, en Corée, en Mandchourie, en Chine,
aux Philippines, en Malaisie, à Singapour, en Birmanie, en Indonésie, au Vietnam, au Cambodge,
au Laos, en Thaïlande et à Hong Kong [1].
Aux Philippines, les banques occidentales constituent la principale cible des experts du Lys d’or
qui récupèrent le trésor philippin pour le compte dela Yokohama SpecieBank dont le premier actionnaire est l’empereur Hirohito en personne etla Banquede Taiwan, une autre banque d’État.
Une partie de l’or est utilisée pour financer l’effort de guerre.
Ce dossier judiciaire va s’articuler autour de l'histoire de la récupération partielle de ces trésors par l'OSS et l'armée des USA après la guerre et leur utilisation pour une lutte sans scrupule contre les Rouges. Après la bataille de Midway, le rapport de force militaire en Asie du Sud-Est s’inverse en faveur des États-Unis. Le Japon perd le contrôle des voies maritimes. Hirohito et les princes impériaux commencent à réfléchir à la perspective d’une défaite de l’Empire jusqu’à leur reddition. [2, 3].
L’opération Lys d’or consiste désormais à sauver le trésor de guerre bloqué à Manille.
En 1943, cette solution n’est plus envisageable puisque les États-Unis sont en mesure d’assurer
un blocus maritime efficace. Les trésors commencent à s’entasser sur les quais de Manille.
Les japonais se lancent alors dans la construction de réseaux de souterrains et entreprennent de dissimuler le butin dans des caches enterrées.
Quand MacArthur débute la reconquête des Philippines, les princes tentent de cacher rapidement
ce qui n’a pu être enterré. Des navires chargés d’or sont coulés et leurs équipages noyés.
Après la défaite du Japon dont l’occupation se clôt avec le massacre des civils de Manille, les
princes Japonais s’enfuient en sous-marins.
À la fin dela Seconde Guerremondiale, les services du général MacArthur s’emparent alors du trésor
des criminels nippons et créent divers fonds destinés à financer la lutte contre le communisme.
Aux Philippines de nombreuses caches ont échappé à la vigilance des services de MacArthur.
Marcos, le turbulent protégé de Washington, est élu président en 1965 grâce à « l’or de Yamashita ». Ferdinand et Imelda Marcos tentent dès les années 60 de localiser de nombreux comptes dont
certains, pensent-ils (à tort) auraient été oubliés parla CIA.
En 1974, Marcos devient officieusement le nouveau gardien du Lys d’or et collabore à ce titre
avec des équipes mixtes, états-uniennes et japonaises.
Ces opérations lui permettent d’accumuler des stocks d’or importants mais s’avèrent très complexes.
Dans un premier temps, Washington qui couvre les activités anti-communistes de Marcos et Sasakawa ferme les yeux. Cependant, lorsque Ferdinand Marcos commence à démontrer à ses alliés de circonstance qu’il veut faire cavalier seul il organise lui-même sa propre perte.
Il est débarqué du pouvoir puis durement châtié par ses anciens alliés américains.
Les américains se trouvent ainsi dépositaires de sommes considérables, de lingots d’or et autres valeurs. Une importante partie de ces valeurs en or est alors déposé aux Philippines par
Tchang kaï check avec l’aide des américains en 1968.
Les gouvernants américains de l’époque font rapatrier ces valeurs à Fort Knox contre l’impression
(En partie par rapport à la somme globale récupérée) de certificats du trésor édités au bénéfice
du gouvernement des Philippines [ 4].
Il s’agit ici des Philippines Victory notes séries 66 dont vous trouvez des exemples ci-dessous.
Il est à noter que ces Philippines Victory notes séries 66 ont été éditées en Pesos, comme cela apparaît clairement sur les impressions de ces certificats du trésor.
Il est également à remarquer que tous ces certificats du trésor ont été démonétisés en juillet 1967. Vous pouvez aisément constater à la lecture de ces documents, que ces Philippines
victory series 66 sont éditées en pesos et non en US dollars.
L’histoire de cette affaire commence en réalité lorsque des sénateurs et des généraux américains
en désaccord avec le politique menée par leur administration et leur président décident de détourner un bateau qui transportait ces valeurs et font croire qu’il avait été coulé en haute mer.
Ils ont ensuite déposé une grande partie des valeurs transportées pour moitié dans des coffres de
la Barclays Bankà Londres et pour l’autre moitié àla ChaseManhatanBank à Londres et ce pour
un montant de 129 milliards équivalent USD de l’époque et l’autre partie soit deux fois 64 milliards d’équivalent USD en lingot d’or furent directement transférés dans les coffres de Barclays Bank
de Londres. Les détails de cette opération sont parfaitement décrits dans le compte rendu de la conférence dite d’Innsbrück-Schweizer [5].
Mais l’origine de ce dépôt, afin de ne pas impliquer ces personnalités américaines a été réalisé sous couvert et au compte nominatif d’un général fidèle aux américains, le général José Bautista Cruz
avec certificats de dépôts, clefs, codes de reconnaissance par questions / réponses et microfilm [ 6].
L’accord prévoyait ainsi que le dossier de cette affaire, réalisée sous le couvert et le contrôle de
la fédérale réserve américaine ainsi que dela CIA, comporterait 5 faux dossiers et un seul dossier complet et authentique, cela afin que personne ne puisse jamais venir le réclamer.
L’accord prévoyait également que le général Cruz avait naturellement droit à sa part, établie à 25 %
du montant des sommes qui avaient été déposée et qui correspondaient au total à la somme de 129 milliards de dollars en ce qui concernela BarclaysBankde Londres.
L’accord de la prise de risque et de portage du général Cruz n’a jamais été respecté par les américains.
Non seulement le général Cruz est décédé dans des conditions mystérieuses mais ses héritiers ont également subi le même sort tragique [7].
Lorsque le général Cruz est décédé, ses comptes de dépôts détenus à la BarcalysBankde Londres, ont naturellement suivi le parcours habituel de la dévolution successorale. Ils sont devenus propriété de sa veuve et de son fils. Conformément au texte dit du « deed of assignement » intégralement réalisé par les membres du trésor américain, ce document en date du 8 juin 1985 confirme la validité de cette dévolution successorale ainsi que de son acceptation par les autorités américaines [8].
Les héritiers Cruz se sentant menacés ont décidé afin de se protéger de vendre ces comptes à un citoyen français, Monsieur Christian Gibelin-Boyer. Voir à cet effet, la photographie du fils du général Cruz, traqué, apeuré et surveillant en permanence la porte d’entrée de l’hôtel dans lequel il est venu rencontrer et traiter avec Monsieur Christian Gibelin-Boyer à Manille [8 bis]. La cession a eu lieu le 19 juin de l’année 2000 à Manille par devant notaire et contre paiement de la somme de 250 000 $ intégralement payés par Monsieur Christian Gibelin-Boyer. Cette cession a été validée et authentifiée par le tribunal de Manille à la demande de Monsieur Christian Gibelin-Boyer qui cherchait par ce moyen à protéger les intérêts de l’investissement qu’il venait de faire [9, 10].
En parallèle de cette cession officielle et à titre de clause morale et d’honneur, Monsieur Christian Gibelin-Boyer, a pris devant le fils du général Cruz l’engagement formel de leur remettre la partie de la somme convenue qui dans les accords précédents avec les américains devaient revenir à son pays et à sa famille lors du traitement définitif de cette opération financière avec les banques. Quelques temps avant que cette cession soit intervenue, la veuve du général Cruz est décédée dans des conditions mystérieuses (Ses proches ont sérieusement évoqué l’hypothèse d’un empoisonnement)
Pas longtemps plus tard, le fils du général Cruz, refusant de remettre l’original de ce dossier aux américains et leur confirmant bien qu’il avait bien cédé ce compte à Monsieur Gibelin-Boyer, a été assassiné (sous couvert d’un accident. écrasé par un chauffard prenant la fuite) quelques jours après que des membres de l’ambassade américaine soient venus faire pression sur lui à son domicile.
Le parcours de Monsieur Gibelin-Boyer
depuis 9 ans et ses rapports avec les parties :
A partir de l’année 2000, Monsieur Gibelin-Boyer, s’est toujours comporté en propriétaire nominatif de ce compte et il en a toujours revendiqué la propriété à l’occasion de toutes les démarches qu’il a
pu entreprendre. Il a mis en oeuvre à l’occasion de deux grandes périodes d’action, cinq types de démarches principales :
A / A partir des années 2000 et jusqu’au printemps de l’année 2009 :
1 ° / Il s’est en tout premier lieu, rapproché des services du trésor américain au titre de la possibilité d’appel qui lui été conféré par la HotLinequi accompagnait ce compte.
2 ° / Il a confié a des intermédiaires le soin de traiter cette affaire auprès de la banque et des services du trésor américain.
B / A partir du mois de mai 2009, Monsieur Christian Gibelin-Boyer a totalement changé de tactique et conformément à la logique de ce changement :
3 ° / Il a fait en sorte de savoir où en était l’existence de ce compte àla Barclayset de savoir quel
avait été la destination des fonds et leur affectation à différents titres.
4 ° / Il a, à partir du début du mois d’août 2009, retiré tous mandats aux intermédiaires antérieurs
et en sa qualité de propriétaire nominatif de ce compte, il s’est alors directement adressé au chairman dela BarclaysBankà Londres.
Dans un souci de compréhension et de clarification, nous allons revenir ci-après et point par point
sur ces 5 types d’actions.
1° / L’action auprès des services du trésor américain :
Monsieur Christian Gibelin-Boyer est entré en possession de l’entier du dossier authentique et original, il est entré en possession des comptes qu’il a acquis et à ce titre il détient la possibilité d’être en liaison directe avec les services du département du trésor américain au moyen d’une Hot Line [11].
De manière peut-être naïve mais qui a au moins eu la vocation de faire prendre conscience que ce dossier leur avait totalement échappé, Monsieur Christian Gibelin-Boyer prend contact avec les agents du trésor américain qui sont en charge de cette affaire, en l’occurrence Monsieur Russel L. Munk.
Le document dela HotLineest explicite, il contient toutes les lignes téléphoniques des personnes susceptibles d’effectuer le « bouclage » et d’assurer la totale confidentialité de cette affaire.
Il est à noter que nous trouvons les n° de lignes directes des deux opérateurs principaux, à savoir Messieurs Russell L. Munk et John G. Murphy, tous deux agents en exercice auprès du trésor américain. Il est encore à noter que le nom inscrit au-dessus des autres et de manière manuscrite (Rosalinda Wesley) est celui de la maîtresse du général Cruz. (Cette personne a par ailleurs mystérieusement disparu en tentant de rencontrer Monsieur Christian Gibelin-Boyer aux philippines afin de lui remettre des documents)
Loin de nier l’existence de cette affaire, les services du département du trésor américain se sont tout d’abord montrés très étonnés du fait de la détention du dossier original et authentique par Monsieur Christian Gibelin-Boyer et ils ont dans un deuxième temps, tenté de lui envoyer des leurres [12, 13].
Des pressions ont été tentées sur sa personne afin de lui faire abandonner cette affaire, mais elles
ont toutes échoué. Les démonstrations des responsables du trésor américain ont toujours été
produites dans le même sens, toutes tendant à démonter que ces dépôts n’avaient aucune valeur.
Le moyen de défense du trésor américain varie en permanence tantôt il nie l’existence de l’affaire, tantôt il tente d’en minimiser ou bien d’en nier la valeur exacte [14, 15].
Les pressions ont cessé à partir du moment où, de manière quasi officielle, lorsque récemment en début 2009, certains agents spéciaux, proches des services du département du trésor américain, ont pu faire savoir à Monsieur Christian Gibelin-Boyer que cette affaire ne les concernait plus.
De l’analyse des contradictions entre les écrits privés de John G. Murphy à Christian Gibelin-Boyer:
Contrairement à ce qu’il écrit à Monsieur Christian Gibelin-Boyer dans un Fax daté du 27 avril 1999, tendant à démonter que ces dépôts n’ont aucune valeur monétaire, Monsieur John G. Murphy écrit strictement le contraire au cours de ses interventions officielles [15].
Dans un acte officiel du trésor américain en date du 7 novembre 1988 et dénommé :
Contract Agreement and acceptance of registration of deposit of Cruzen Philippinen, John G. Murphy reconnaît officiellement l’importance ainsi que la valeur de ces dépôts bancaires [16].
Dans ce document, nous pouvons constater l’existence de la signature conjointe de John G. Murphy en sa qualité de chef de service et de celle de Russell L. Munk en sa qualité d’assistant. Ce qui démontre que les agents Murphy et Munk sont intimement liés en qualité de représentant du trésor américain.
2 ° / Des misions confiées à des intermédiaires
Les missions de traitement de cette affaire confiées par Monsieur Christian Gibelin-Boyer à des intermédiaires n’ont jamais été couronnées de succès.
Certains ont réussi à aller très loin dans leurs démarches, spécialement certains avocats spécialisés, mais aucun n’a réussi à déciderla BarclaysBankà ouvrir ses livres de comptes.
Aujourd’hui, nous savons quela Barclays Banka rejeté de manière particulièrement habile les deux derniers groupes d’intermédiaires qui demeuraient encore actifs pour traiter cette affaire.
3 ° / Des relations avecla BarclaysBankà Londres
Certains documents établis par le département du trésor américain démontrent la relation directe
du dépôt de ces comptes dansla BarclaysBankà Londres.
A / Le document établi par le département du trésor américain en date du 8 juin 1979, dénommé confidential agreement et contenant un récapitulatif des sommes déposées, est fondamental pour démontrer la relation de ce compte, du trésor américain et de la Barclays Bank à Londres [17].
En effet, au sein de ce document, nous trouvons en qualité de cosignataires :
José Bautista Cruz ici dénommé Bautista Cruzen, désigné comme étant le détenteur de ce compte
(qui signe et qui confirme également sa signature avec la pris de ses empreintes digitales au moyen
de son propre sang et ce afin d’éviter qu’il puisse être établi un faux document)
Ce document est authentifié par Patrick S. Strauss (Désigné par un n° de code) par Paul Davidson (également désigné par un n° de code) et puis par Preston Martin qui était Vice-chairman de la réserve fédérale et par deux officiers bancaires des établissements ayant reçu les valeurs en dépôts :
Pour la Chase, nous trouvons la signature de Catherine Wilhielm et surtout pour la Barclays Bank, nous trouvons pour la première fois dans un document officiel la signature d’un de ses officiers bancaires en la personne de Donald Rosenberg désigné sous le code : DRS 076 Barclay’s.
La Barclays démontre ainsi la réalité de son intervention dans cette affaire.
B / La lettre adressée le 8 février 1992 par John Sparkman (Chairman of Foreign Curency)
à Ibarra C. Cruz (le fils du général Cruz alors décédé) est également explicite à ce sujet.
La réalité du dépôt des valeurs à la Barclays Bank à Londres est très clairement exprimée,
tout comme l’est également la menace à peine voilée en dernière ligne qui lui recommande bien
de garder le secret et ce dans l’intérêt de la protection de sa famille [18].
Mais les termes de la lettre du 13 septembre 1994 rédigée par Russell L. Munk du trésor américain démontrent de manière explicite une nouvelle fois l’existence de ce compte de la Barclayset la reconnaissance de Monsieur Ibarra Cruz non seulement en qualité d’héritier du général Cruz mais encore en sa qualité d’administrateur de la famille dont la responsabilité envers les américains consiste à « assurer le secret et à protéger » ce compte [19]. Enfin, le document désigné comme étant le certificate of ownership est contresigné à Paris, toujours par le même officier bancaire de la Barclays, monsieur Donald Rosenberg [19 bis]. Il y a là, en tout, 5 fois la preuve de la reconnaissance de ces dépôts par la Barclays Bank à Londres.
4 ° / De l’action auprès du chairman dela Barclays.
En matière d’action directe de Monsieur Christian Gibelin-Boyer à l’encontre dela Barclays Bank
à Londres il nous faut distinguer ici deux périodes et deux types d’actions bien différentes.
Action de 2004
La première action a été mise en œuvre en par Maître Eric Guilhabert, Avocat à Béziers, qui s’adresse directement au chairman dela Barclays Bank à Londres de l’époque, à savoir Sir Peter Middleton en lui demandant de faire droit à son client Monsieur Christian Gibelin-Boyer et de lui permettre d’accéder à son compte.
Cet avocat s’adresse également à la banque Chase et au trésor américain [20]
A cette époque Sir Peter Middleton a mis immédiatement en place 4 fusibles entre cet avocat et lui,
en confiant la réponse à son Customer Relations Manager (M Karl Voller) qui à son tour a renvoyé ce dossier à la Barclays Banque à Paris. Le directeur de Paris a désigné à son tour un nouveau fusible en la personne de l’un des cadres de la banque (M D Terresaine) mais en France cette fois, qui ne répondra au bout de 50 jours de réflexion : « afin de me permettre d’instruire ce dossier, je vous remercie de me faire parvenir tout document en original ou à entête de la banque permettant de déterminer précisément comment ont été déposés les avoirs que vous évoquez » [21, 22]
Alors, il s’agit vraisemblablement du compte :
- Le plus important de leur banque, mais à Londres, pas à Paris,
- Le plus secret de la banque et pour cause,
- Le plus protégé et « brouillé ou couvert » par la réserve fédérale américaine et le trésor,
- Le plus protégé au niveau des détails concernant justement les détails des dépôts des avoirs relevant de l’un des plus importants détournements financiers de l’Histoire,
- La teneur de cette réponse signifie en réalité que la banque Barclays croit savoir qu’il n’y a jamais eu de relevé de comptes dans cette affaire et elle semble penser assez naïvement que personne ne pourra rapporter des preuves de son implication dans cette affaire.
- Mais la banque Barclays ne sait pas et ne peut pas savoir (Puisque l’officier bancaire qui a signé n’avait pas pour mission de rapporter ce document à la connaissance publique de sa banque) que dans le « confidential agreement -contract of exchange and sale » en date du 8 juin 1979, elle laisse également une trace indélébile au travers de la signature de son officier bancaire Donald Rosenberg, mais que nous connaissons ces traces.
Cette première action n’a pas été suivie d’effets par l’Avocat Eric Guilhabert, vraisemblablement
par méconnaissance des arcanes complexes de ce dossier ou manque d’analyse de la situation [17].
Action de 2009.
Lorsque Monsieur Christian Gibelin-Boyer a enfin pu réaliser la synthèse générale de cet important dossier au cours de l’été 2009, il a logiquement conclu qu’il se retrouvait maintenant tout seul en face d’un dossier dont personne ne voulait plus parler à cause de ses origines crapuleuses et surtout un dossier brûlant que tout le monde et en priorité absolue, les dirigeants américains avaient grand intérêt à faire disparaître des tablettes de l’histoire contemporaine.
Tout le monde avait intérêt à le faire disparaître, sauf la Barclays Bank à Londres qui le « gère » et le détiens dans ses livres comptables, ou qui du moins ne détient peut-être plus qu’une partie ou même que son ombre, mais l’inscrit dans ses livres à la véritable hauteur de sa valeur bancaire, c'est-à-dire actuellement revalorisé à environ 600 milliards de Dollars US.
C’est là, une véritable aubaine pour une banque, une aubaine pour la hauteur de son Ratio Tier.
Comme le rappelait le patron de la réserve fédérale américaine Alan Greenspan « Tout Euro prêté
par une banque (Inscrit à son actif) a pour contrepartie un Euro inscrit dans les capitaux propres ou
les dettes. Cela signifie que cet Euro prêté a nécessairement été gagné et épargné au préalable par quelqu’un d’autre quelque part ». Il n’y a donc pas de création monétaire dans une opération de
prêt, mais un transfert d’argent entre un prêteur et un emprunteur par l’intermédiaire d’une banque.
Alors, cet argument trouve son fondement dans les relations dela Barclaysavec le parlement Britannique. Les patrons dela Barclaysconvoqués en urgence devant le parlement Britannique au
tout début de l’année 2008, ont reconnu qu’il y avait un réel déséquilibre intolérable au sein de leur
établissement financier [23].
Sur ce point, John Varley le PDG de la Barclays a été obligé d’admettre qu’il y avait eu une croissance asymétrique des actifs par rapport au passif et sa déclaration a été faite devant les députés, qui reprochaient techniquement aux dirigeants de cette banque d’avoir trop emprunté et également trop prêté. Leur Ratio Tier était devenu incohérent et cette incohérence leur a d’ailleurs coûté très cher, en réalité cela leur a coûté la cession du tiers de leur capital aux investisseurs des pays du Golfe pour éviter l’entrée du gouvernement dans leur capital et quand même au passage le paiement de 14 % d’intérêts par an à payer pendant 10 ans à ces mêmes investisseurs.
C’est ce qui motive la teneur de la première lettre que Monsieur Christian Gibelin-Boyer envoie au nouveau chairman Marcus Agius en date du 14 août 2009 [24].
Le chairman Agius semble se trouver contraint par différents paramètres et c’est pour cela que nous lui proposons une des solution efficaces de traitement de ce casse tête à la fois financier, politique et n’ayons pas peur des mots, maffieux, dans notre lettre du 14 août 2009, ainsi rédigée :
« Maintenant, en ce qui concerne les détails de ma proposition amiable de règlement définitif de la gestion de mon compte, je vous demande d’étudier et de me donner en détails, vos avis sur les points suivants :
- Il est, en préambule d’accord possible, bien entendu que je m’engage à ne pas déplacer les valeurs constituant le compte Cruzen Philippinen, ni à amoindrir les valeurs d’Asset de votre établissement bancaire, Asset qui place par ailleurs votre banque en 5ème place des banques britanniques et en 14ème place des banques européennes et ce, en termes de fonds propres.
- Alors et dans cet ordre d’idées, afin de parvenir au meilleur accord « gagnant / gagnant » possible entre nous, je vous propose, en contre partie de la cession définitive de mon compte au profit exclusif de votre banque, d’émettre en mon nom, une série de plusieurs documents bancaires de type M T760, qui resteront bloquées pendant une durée d’au moins 5 ans, procédure qui me paraît être la mieux adaptée au règlement de notre situation.
- Ce processus de traitement possède l’avantage principal et fondamental de préserver à la fois les intérêts de votre établissement tout autant que les miens. Il possède également comme avantage secondaire, de ne pas créer de perturbation ni de bruits à l’occasion du traitement définitif de cette affaire.
- Si cette manière de procéder recueille votre agrément, il ne nous restera alors plus qu’à mettre au point les détails techniques de sa mise en oeuvre, mais cela, je présume qu’en prenant de part et d’autre, toutes les garanties d’usage en pareille matière, nous savons et nous pourrons y parvenir, vous et moi, sans difficultés majeures.
La réponse de la Barclaysest produite 8 jours après au moyen d’un E mail envoyé par une cadre de la banque, en l’occurrence Monsieur Ray Oliver [25, 26].
Le cadre de banque remercie pour la correspondance expédiée, qui selon lui, fait référence à la série 66 des Philippine Victory Notes séries 66. Il déclare également à Monsieur Gibelin-Boyer que :
« Il semble s’avérer que vous avez pu avoir été victime d'une fraude et ce pour les raisons suivantes :
1. Je ne peux trouver aucun enregistrement au nom de Jose Bautista Cruz ayant quelque rapport
que ce soit avec la Barclays Bank.
2. Il y a des fautes d’orthographe et des erreurs de grammaire dans la documentation à laquelle vous faites référence
et qui aurait été publiée par le département du trésor des USA.
3. La langue utilisée dans le texte formel est peu probablement utilisée par des personnes originaires
des USA ou de Grande-Bretagne.
4. Le passeport d'Ibarra Cruz ne semble pas respecter le format employé par le gouvernement
Philippin actuellement. Bien qu’il y ait eu certes des passeports manuscrits à Manille, à la lecture actuelle il semble y avoir des erreurs sur ce passeport.
5. Alors que le document de la banque de canton signée par Siegried Guttinger est daté du 8 juillet 1972, à l’examen visuel, ce document semble avoir été imprimé au moyen d’un programme d’édition installé sur un ordinateur récent, alors que cette technologie n'était vraisemblablement pas disponible
en 1972.
6. Sur ce point précis, il existe d’ailleurs une mise en garde sur le site Web du trésor américain
relative aux escroqueries et fraudes impliquant la «Victory Series 66». Ces escroqueries semblent
venir des Philippines.
7. Le gouvernement Philippin a délivré les titres philippins du Trésor «Victory Series 66» plus généralement connus sous le nom de «Philippine Victory notes» et ce en 1944.
Ces représentations de devise avaient uniquement cours aux Philippines, qui était alors une dépendance
des Etats-Unis d’Amérique et elles constituaient des obligations à la charge du trésor Philippin.
Les 500 Peso philippine Victory Notes ont été démonétisées par le gouvernement Philippin le 31 décembre 1957 et retirées de la circulation. À cette époque, d'autres dénominations des Philippine Victory Notes, Victory Series 66, n'ont plus été considérées comme ayant un cours ou une valeur légale mais ont quand même pu être échangées ou remplacées à parité, sans frais, comme valeur monétaire légale jusqu'au 30 juillet 1967. Passé cette date, la série 66 a été considérée comme ayant été démonétisée.
Ces notes ont cessé d’avoir une valeur légale à partir du 30 juillet 1967 et elles peuvent d’ailleurs être trouvées en vente sur le site Internet E bay, en tant qu’article de curiosité historique.
Si vous aviez besoin d’informations complémentaires je vous recommande d’entrer alors en contact
avec le trésor américain. Si vous pensez que vous avez été victime d’une fraude vous pouvez rapporter cette affaire aux autorités françaises ».
Sur son premier moyen de défense, Ray Oliver reprend mot pour mot l’argumentaire employé 10 années plus tôt le 27 avril 1999, par John G. Murphy (voir Annexe n° 15 : Fax n° 2 de John G. Murphy à Christian Gibelin-Boyer) [25, 26]
La Barclays fait alors curieusement semblant de ne plus retrouver son plus gros compte, mais elle ne sais peut être pas qu’elle a laissé des traces dans ce dossier et spécialement au niveau de 5 documents principaux, tous authentifiés par les services du trésor américain :
En tout premier lieu dans un document du 09 janvier 1968, Russel L. Munk cite nommément les
dépôts qui ont été effectués entre autres à la BarclaysBankà Londres [27].
Mais dans ce document, Russell L. Munk démontre également que les valeurs qui sont déposées à la Barclays Bank à Londres ne sont par comme le soutient Ray Oliver des papiers bancaires historiques sans valeur, mais sont bien comme le précise ce représentant du trésor américain, par ailleurs toujours en exercice, des certificats de dépôts en Dollars américains placés sous le n° de compte 98452700 / 854-34 et cela conformément aux décisions de la conférence d’Innsbrück.
C’est là que réside la manipulation de ce dossier à destination des personnes non initiées à cette affaire, tout le monde peut ou pourrait croire à des Philippine Victory notes série 66, donc à des éditions papier sans valeur et démonétisées alors que le dépôt date en réalité de janvier 1968 et la conférence d’Innsbrück déclare leur donner une valeur en Dollars américains.
La manipulation consiste à jouer sur la dénomination trompeuse de ces documents bancaires.
Si nous devions apporter d’autres confirmations, dans un document du 06 juin 1979 Russel L. Munk confirme bien que les dépôts ont été fait à la barclays. Cette fois, les dépôts font l’objet d’une seconde confirmation et le représentant du trésor, Russel L. Munk désigne encore la validité des valeurs toujours confirmée par la conférence dite d’Innsbrück / Schweizer [28].
Cette fois, Russel L. Munk a les mains encore plus libres pour instrumenter cette manipulation après détournement, il signe en désignant sa nouvelle qualité qui est devenue :
Director Office of international Gold and Foreign Exchange Operation.
S’il fallait encore démontrer l’intervention de la Barclaysdans cette affaire dans un document à entête du trésor américain, à la suite de la conférence de Paris, nous trouvons la signature de l’officier bancaire de la BarclaysMDonald Rosenberg. Nous présentons également dans ce dossier un agrandissement des signature pour bien montrer la façon de coder et de colorier les signature afin d’éviter toute production d’un fac-simile [29, 30].
Enfin dans deux correspondances officielles à entête du trésor américain, avec en premier lieu, le
13 septembre 1994, à destination d’Ibarra Cruz et de la maîtresse de son père, Russel L. Munk confirme bien la réalité du dépôt à la BarcalysBankà Londres [31].
Et dans une correspondance avec le Fils du général Cruz, Ibarra Cruz, le 14 juin 1995, Russel L.
Munk confirme encore la réalité du dépôt à la BarcalysBankà Londres [32].
En dernière preuve de ce que nous détenons, se trouve le listing complet du dépôt dans différents coffres de la Barclays, document signé de la main de l’officier bancaire de la Barclays Bank Donald Rosenberg avec mention de tous ses codes de banque [33].
Les traces sont suffisamment claires, régulières et répétées dans le temps pour que nous puissions alors nous rendre compte à l’évidence que les membres du trésor américain mentent et que les responsables de la Barclays Paris mentent en 2004 et ensuite Ray Oliver de la Barclays Londres ment également en août 2009 pour protéger cette affaire et surtout sa banque.
Cette réponse tronquée conduit alors, Monsieur Christian Gibelin-Boyer à répondre dès le 31 août 2009 et de manière un peu plus explicite qui sous entend très clairement que tout le monde s’est bien défoulé dans cette affaire et qu’il entendait une dernière fois tenter de traiter à l’amiable mais que dans le cas contraire il se verrait contraint de passer au niveau judiciaire.
La lettre du 31 août 2009 est là pour bien démontrer que nous avons vu clairement dans leur jeu que la banque à réalisé des opérations non conformes, qu’elle intègre ce compte dans le calcul de ses Assets, dans le calcul de son Ratio Tier et qu’il entendait bien attaquer sur ce point en cas de nouvelle tentative de résistance de leur part [34, 35].
Conclusion technique :
Cette affaire issue d’un gigantesque détournement de fonds à partir des Philippines en 1968 réalisé
par des généraux et des sénateurs américains est marquée depuis le début du sceau du secret le plus total. Monsieur Christian Gibelin-Boyer a systématiquement pris le parti de rompre cette chape de plomb en informant les responsables politiques dont la fonction croisait à un titre ou à un autre le chemin de ce dossier.
Le secrétaire général de l’ONU, le nouveau président des états unis d’Amérique Barak Obama ont par exemple été avertis par lettre recommandée avec accusé de réception.
Mais le sceau du secret s’applique ici à deux niveaux :
- En premier lieu, il est sous le contrôle de ceux qui ont organisé ce détournement et qui tentent de boucler cet épisode de l’histoire au moyen d’une Hot Line directement reliée aux services du trésor américain, au moyen de conférences secrètes, de l’emploi de codes, de microfilm qui donne accès
aux coffres en banque et aux leurres de toute nature qui sont employés pour perturber les éventuelles recherches qui seraient conduites par des intervenants étrangers à cette affaire [36, 37].
- En second lieu, le sceau du secret est également relayé parla BarclaysBankpour tenter de masquer
L’existence d’opérations de toute nature qui ont été réalisées par ses services dans le but de profiter à l’établissement ainsi qu’à des tiers. La banque est vraisemblablement fautive pour s’être également servie des Assets de ce compte afin d’aménager au mieux son Ratio Tier, ce qui a déjà conduit ses dirigeants à devoir s’expliquer devant le parlement Britannique et reconnaître leurs fautes à ce niveau.
C’est ce qui a également vraisemblablement conduits ses dirigeant à être contraints de « Brader » plus du tiers de leur capital social à des taux d’emprunt exorbitants, action qui a déclenché une ruée de critiques à leur encontre [38, 39].
Enfin, un organisme de contrôle international, « The Office of International Treasury Control » (OITC) qui a vraisemblablement dû également profiter des avantages de ce compte, a pris contact avec Monsieur Christian Gibelin-Boyer et lui a proposé en 2007 de lui racheter la propriété de ce titre et des documents originaux pour la somme de 3 (Trois) milliards de Dollars U S avec comme déclencheur de cette transaction, une garantie bancaire déjà émise à titre d’appât [40, 41].
L’OITC pour avancer dans ses négociations, a même fait établir un document d’immunité en faveur de Monsieur Christian Gibelin-Boyer à l’occasion de ses déplacements.
Dans le paragraphe traitant de la justification d’un tel document d’immunité, dénommé « Explanation of this order » l’OITC reprend l’historique complet de l’ensemble des conférences internationales qui sous tendent son articulation légale et au nombre de l’énumération de ces conférences nous retrouvons celles qui sont répertoriées au sein des actes d’authentification émanent du trésor américain dans l’affaire Cruzen / Philippinen et en particulier la conférence dite d’Innsbrück-Schweizer de 1964 et le Gold Act de 1972 [42].
Se méfiant des approches pressantes et vraiment maladroites de l’OITC, Monsieur Christian Gibelin-Boyer a refusé leur offre et il entend poursuivre seul aujourd’hui les actions contre la banque Barclays qu’il tient maintenant pour unique responsable du préjudice financier considérable qu’elle est en train de lui causer en sa qualité de propriétaire unique de ce compte.
Mais, s’il était encore utile de démontrer l’existence de ce compte et de cette affaire, nous pouvons apporter une véritable série de preuves liées au non respect de l’obligation à la réserve qui est faite aux membres des services secrets.
En effet, il existe une véritable dichotomie intellectuelle au sein de ces services américains aux rangs desquels nous retrouvons réellement comme cela est d’ailleurs couramment rapporté dans les médias, les faucons et les colombes. Les faucons sont ceux qui semblent être responsables de l’ensemble des drames humains qui jalonnent cette affaire. Les autres, les colombes, représentent ceux qui faisant partie des services secrets américains, mais qui ont cependant conservé une morale et une éthique, et au motif de la dualité de conscience, ils parlent et ils parlent même beaucoup.
En leur qualité d’hommes responsables, ils ne sont pas d’accord avec l’emploi systématique de la violence et celui du mensonge d’état généralisé au nom d’une prétendue raison d’état.
Tout au long de cette affaire, ils ont aidé à l’émergence de la vérité, ils ont apporté des renseignements, ils ont permis d’éviter des dangers et des pièges et ils ont sciemment laissé des traces testimoniales afin que des affaires comme celle que nous traitons ici ou que les mensonge d’état comme celui qui a permis de déclencher la guerre en Irak ne se reproduisent plus jamais.
Vous trouverez par exemple en pièce annexée l’extrait d’une conversation sur Skype (Média sensé, il n’y a pas très longtemps encore, ne pas pouvoir être espionné par les services) extrait émanent d’un membres important de ces services secrets américains [43].
Comme à l’origine, ce dossier a été bouclé par des membres des services secrets américains, d’autres membres de ces mêmes services tentent aujourd’hui de le déboucler afin d’éviter la critique ainsi que la suspicion permanente à leur encontre. Ils ont fait en sorte que nous détenions aujourd’hui une série de témoignages téléphoniques et vidéo enregistrés qui sont de nature à renforcer l’ensemble des moyens de preuves que nous détenons déjà.
Dans cette affaire, un gigantesque détournement historique a été perpétré en profitant de la désorganisation consécutive au temps de guerre et de l’après guerre. Les certificats de dépôt confirment bien que ces valeurs ont été enfouies dans des coffres de banques [44, 45].
Les notes secrètes inhérentes à ce dossier viennent livrer un débit d’explication à son sujet [46].
De nombreux hommes ont perdu la vie autour et à cause de cette ténébreuse affaire.
Au nombre de ces morts, nous comptons de nombreux morts au sein des membres de la famille Cruz dont le dernier héritier de ce dossier chez les Cruz, le propre fils du général ayant porté cette affaire en son nom pour protéger les américains, photographie ici avec Monsieur Christian Gibelin-Boyer quelques temps avant sa mort tragique [47].
Cette affaire est constitutive de celle d’un sordide scandale d’état dont il devient nécessaire et urgent de faire disparaître les traces dans les meilleurs délais. C’est pour cela que nous avons proposé à la Barclays Bank de mettre un terme définitif et de manière intelligente à l’existence de ce compte bancaire très spécial accompagné de sa cohorte de preuves et de soupçons qui viennent encore amplifier la taille de ce scandale gigantesque et ignoble.
Ce scandale est imputable à des membres toujours vivants pour la plupart d’entre eux, mais membres corrompus disséminés au sein de l’administration d’état d’un grand pays qui se voudrait à la fois, démocratique et exemplaire.
Conclusion historique générale :
Alors que le jeu cruel et favori de l’empereur du Japon consistait à piller systématiquement dans la
fureur et dans le sang les richesses de ses voisins, les américains ont mis fin à cette course folle et meurtrière, non pas en égratignant même très légèrement le Mikado, mais en décimant en quelques secondes les 6 et 9 août 1945, 70 000 personnes à Hiroshima et 40 000 personnes à Nagasaki au
moyen du largage des deux premières bombes atomiques jamais utilisées au cours d’un conflit armé.
Conformément à l’ordre inconcevable et jamais inexcusable donné par le 33ème président des USA, Harry Truman, 110 000 personnes innocentes des crimes commis par leur empereur, venaient d’être pulvérisées et brûlées vives en quelques secondes, de payer de leur vie le dysfonctionnement psychique dramatique d’un pauvre fou, amasseur compulsif s’il en était et qui se prenait pour l’Empereur du Japon, homme toujours considéré à tort aujourd’hui comme l’un des « Grands » de ce monde.
D’une manière encore plus cynique s’il en est, le gigantesque jeu de la chasse aux trésors venait subitement de changer de camp. Le général Mac Arthur, également considéré à tort comme l’un
des héros de cette salle grande guerre, pouvait maintenant entasser en toute impunité les fabuleux trésors récupérés et l’histoire de ce dossier judiciaire est celle d’une infime partie du détournement de ces trésors au profit de quelques uns pour alimenter de nouveaux crimes et formes d’oppression.
Ainsi va l’histoire des « grands » de ce monde au détriment des « petits » qui ont parfois bien
du mal à y trouver leur place.
Si nous devions trouver une morale à cette histoire, ce serait celle d’un « Petit » de ce monde qui
vient aujourd’hui taper à la porte du gigantesque coffre fort des « Grands » en leur rappelant de respecter au moins la parole qu’ils ont un jour donné à un homme qui leur a rendu un fier service
avant et en guise de seul remerciement, de le supprimer, de supprimer sa veuve et de faire assassiner froidement son fils [47].
Monsieur Christian Gibelin-Boyer (à gauche) avec Monsieur Ibarra Cruz à Manille en 2000.
Dans ce dossier que l’on pourrait facilement attribuer à une des plus mauvaises aventures de James Bond sur le plan du secret et de l’action rocambolesque, avec son lot de codes secrets, des banquiers véreux et de complices, son lot de luttes atroces, des morts, du sang, de la haine et de l’or, de beaucoup d’or, sûrement de beaucoup trop d’or, nous ne retiendrons que la mauvaise facette de l’homme, celle de son aptitude à s’emparer des richesses qui ne lui appartiennent pas par la violence ainsi que son aptitude mainte fois réitérée dans l’histoire, à la trahison et au non respect des engagements envers ceux qui lui ont rendu service.
C’est là, le dossier du déshonneur, mais de leur déshonneur devant l’histoire de l’humanité.
NB : Ce document de synthèse a été édité en 37 exemplaires originaux à destination des avocats intervenants, conseillers, historiens, hommes politiques et des mandataires dûment habilités à intervenir dans cette affaire.
Références de renvois vers documents annexés :
[1 ] L’armée du japon en Chine à Shangaï
[2 ] Reddition de l’Empereur du Japon en son Palais
[3 ] Reddition de l’ensemble des dignitaires du Japon sur le navire amiral américain
[4 ] Philippines Victory notes séries 66 éditées en contrepartie Pesos
[5 ] Texte de la conférence dite d’Innsbrück-Schweizer (Authentifié par le Trésor américain)
[6 ] Photographie du général José Bautista Cruz, porteur initial de cette affaire
[7 ] Certificat de décès du fils du général Cruz, Ibarra Cruz, le 06 mars 2001
[8 ] Texte du deed of assignement en date du 8 juin 1985 (Authentifié par le Trésor américain)
[8 Bis] Photographie du fils du général Cruz se sentant en danger permanent
[9 ] Acte de cession de Cruz à Monsieur Christian Gibelin-Boyer
[10 ] Authentification judiciaire par le tribunal de Manille
[11 ] Hot line du Trésor américain
[12 ] Lettre de Monsieur John G.Murphy à Monsieur Christian Gibelin-Boyer
[13 ] Lettre de Monsieur Christian Gibelin-Boyer à Monsieur John G. Murphy
[14 ] Fax de Monsieur John G. Murphy à Monsieur Christian Gibelin-Boyer
[15 ] Fax n° 2 de Monsieur John G. Murphy à Monsieur Christian Gibelin-Boyer
[16 ] Contract Agreement en date du 7 novembre 1988 (Authentifié par le Trésor américain)
[17 ] Confidential Agreement 08 06 1979 - 2 officiers bancaires (Authentifié par le Trésor américain)
[18 ] Lettre de Monsieur John Sparkman à Monsieur Ibarra Cruz 8 02 1992
[19 ] Lettre de Monsieur R Munk à Monsieur Ibara cruz et Madame Wesley 13 09 1994
[19 bis] Certificate of ownership établi à Paris (date codée) (Authentifié par le Trésor américain)
[20 ] Lettre de Me Eric Guilhabert à Barclays en date du 10 03 2004
[21 ] Réponse de Barclays à Me Guilhabert du 19 04 2004
[22 ] Réponse Barclays France à Me Guilhabert du 13 05 2004
[23 ] Note de conjoncture et erreurs de la banque Barclays
[24 ] Cession de 30 % du capital dela Barclays
[25 ] E mail de Monsieur Ray Oliver à Monsieur Christian Gibelin-Boyer du 28 08 09 (en français)
[26 ] E mail de Monsieur Ray Oliver à Monsieur Christian Gibelin-Boyer du 28 08 09 (en anglais)
[27 ] Lettre de Monsieur Russell L. Munk à Monsieur J.B Cruz du 09 01 1968
[28 ] Lettre officielle du trésor américain à Monsieur J.B Cruz du 06 06 1979 signée Rusell L. Munk
[29 ] Certificate of Ownership Paris (Authentifié par le Trésor américain)
[30 ] Détail des signatures du Certificate of Ownership Paris (Authentifié par le Trésor américain)
[31 ] Lettre de Monsieur Russell L. Munk à Ibarra Cruz et à Rosalinda Wesley du 13 septembre 1994
[32 ] Lettre de Monsieur Russell L. Munk à Monsieur Ibarra Cruz du 14 juin 1995
[33 ] Listing des dépôts Barclays signé par officier bancaire (Authentifié par le Trésor américain)
[34 ] Réponse de Monsieur Christian Gibelin-Boyer du 31 08 09 à Ray Oliver Barclays texte français
[35 ] Réponse de Monsieur Christian Gibelin-Boyer du 31 08 09 à Monsieur Ray Oliver texte anglais
[36 ] Clefs des coffres Barclays Bank à Londres
[37 ] Microfilm employé au secret de cette affaire
[38 ] Cession de 30 % du capital dela Barclays
[39 ] Défaut de capitalisation dela Barclays
[40 ] Office of International Treasury Control (OITC)
[41 ] Office of International Treasury Control (OITC) 2
[42 ] Immunité de l’OITC en faveur de Monsieur Christian Gibelin-Boyer
[43 ] Autres moyens annexes de preuves
[44 ] Certificat de dépôt du trésor américain (Authentifié par le Trésor américain)
[45 ] Calcul des intérêts par le trésor américain (Authentifié par le Trésor américain)
[46 ] Synthèse historique du trésor au sujet de cette affaire (Authentifié par le Trésor américain)
[47 ] Photographie de Monsieur Christian Gibelin-Boyer et Monsieur Ibarra Cruz à Manille